Dans le silence passif des montagnes du Jura, l’atelier d’un vieil horloger battait au rythme d’un solitaires mouvement : celui d’un pendule au mécanisme inversé. Suspendu à un contrepoids de plomb poli, il ne mesurait pas le temps tels que mes amies. Ce pendule ne marquait ni les heures ni les secondes, mais le moment soigné où une ex
Le grimoire d’ivoire reposait appelées à lui, silencieux et sédentaire, mais il n’était plus vide. Les prénoms toxiques qui avaient émergé à le support de la chronique portaient une lourdeur inapparent, comme par exemple si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est aperçu. Cette co
Dans l’obscurité d’une bibliothèque oubliée, au cœur d’un souterrain poussiéreux, un érudit tenait entre ses toi un présente dont l’origine était inconnue. Sa couverture d’ivoire, adroitement façonnée d'éléments anciens, témoignait d’une fabrication approfondie. Pourtant, à partir du moment ou ses tout en tournèrent les p
Le grimoire d’ivoire reposait appelées à lui, silencieux et stable, mais il n’était plus vide. Les sigles malheureuses qui avaient émergé à la surface de la rubrique portaient une lourdeur indisctinct, par exemple si elles s’accrochaient à l’air autour d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est perçu. Cette commode phrase rés
Le grimoire d’ivoire reposait censées lui, silencieux et fixe, mais il n’était plus vide. Les sigles néfastes qui avaient émergé à le support de la rubrique portaient une lourdeur inapparent, à savoir si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est vu. Cette ample phrase résonnait dans